Selon les médias étrangers, le gouvernement britannique a déclaré le 7 novembre que, conformément au cadre de développement des voitures autonomes, le pays stipulerait que les constructeurs de voitures autonomes assumeraient la responsabilité légale de tout accident, sans la responsabilité du propriétaires, ce qui a été bien accueilli par les compagnies d’assurance et les startups de voitures autonomes.
En expliquant le programme législatif du gouvernement lors de la prochaine réunion parlementaire, le roi Charles d'Angleterre a déclaré que le gouvernement présenterait le projet de loi sur les véhicules automatisés. La Grande-Bretagne avait promis de présenter ce projet de loi l'année dernière, mais cet objectif n'a pas été atteint.
Dans un discours devant les législateurs, le roi Charles a déclaré : « Mes ministres introduiront un nouveau cadre juridique pour soutenir la commercialisation en toute sécurité des industries émergentes telles que les voitures autonomes. »
Tara Foley, responsable des opérations au Royaume-Uni et en Irlande d'AXA, une compagnie d'assurance mondiale, a déclaré que le nouveau projet de loi apporterait « de multiples avantages » à l'économie britannique, à la sécurité routière et aux emplois verts. Elle a ajouté : "Pour les compagnies d'assurance, le nouveau projet de loi apporte également une clarté cruciale pour déterminer la responsabilité de la conduite autonome."
Auparavant, de nombreuses entreprises avaient déclaré que si la réglementation sur la technologie des véhicules autonomes ne pouvait pas être adoptée avant les prochaines élections générales prévues l'année prochaine, le Royaume-Uni pourrait perdre son investissement et les start-ups de conduite autonome choisiraient d'effectuer des tests ailleurs.
Alex Kendall, PDG de Wayve, une startup de conduite autonome, a déclaré : « La législation primaire sur les véhicules autonomes nous donne la confiance nécessaire pour continuer à investir dans la recherche et le développement au Royaume-Uni et à élargir notre personnel. La société a levé environ 260 millions de dollars auprès d'investisseurs, dont Microsoft.